Avec la fin de Sollio & Grains Québec, les producteurs sont revenus livrer leur grain chez Agiska Coopérative, qui a dépassé, en quelques mois, ses objectifs de commercialisation. Photo : Agiska Coopérative
Économie

L’échec de Sollio & Grains Québec ou le renouveau des coopératives régionales

Sollio & Grains Québec devait devenir le plus important acheteur de grains auprès des producteurs québécois. En entrevue avec La Terre, en 2021, son directeur, Richard Villeneuve, prévoyait commercialiser 1,4 million de tonnes de grains en cinq ans, mais voilà que depuis cet été, l’organisme est en mode dissolution.

Le poulailler vitré de la ferme du Brabu permet de montrer les bonnes pratiques. Photos : Gracieuseté des EVQ

Vitrine sur la production d’œufs

François Lecours et Élène Pépin se sont pleinement investis dans leur ferme et y ont multiplié les projets au cours des dernières années.


Il existe 13 familles d’érables sur la plantation et la première phase de recherche permet de construire une « cartographie génétique ». Photo : Gracieuseté de l’Association des propriétaires de boisés de la Beauce

Un laboratoire à ciel ouvert pour faire progresser l’acériculture

La génétique pourrait bientôt venir en aide aux acériculteurs afin d’améliorer la productivité et la résilience de leur exploitation.



Le plan de financement de l’UPA a été adopté à l’unanimité, le 29 octobre. Photo : Fédération de l’UPA Gaspésie-Les Îles

Une résolution sur la disponibilité de la chaux en Gaspésie et aux Îles

La disponibilité de la chaux en région a encore fait jaser à l’assemblée générale annuelle de la Fédération de l’Union des producteurs agricoles (UPA) Gaspésie-Les Îles, le 29 octobre.



Selon les trois analystes consultés par La Terre, il n’y aura pas de miracle, cette année, dans la vente de grains. Photo : Martin Ménard/Archives TCN

Vente de grains : j’opte pour quelle stratégie cette année?

La moissonneuse-batteuse vient d’être rangée dans le fond du hangar, les tracteurs sont lavés, la souffleuse est attelée et le pigeon qui se pose au sommet des silos remplis à rebord de grains vient rappeler qu’il ­faudra vendre toute cette récolte. Mais quand et ­comment? Trois analystes partagent leur vision.

Les Producteurs et productrices acéricoles du Québec mettent beaucoup d’énergie pour recouvrer l’argent associé au non-respect de la convention de mise en marché du sirop d’érable et du Règlement sur le contingentement des producteurs et productrices acéricoles. Photo : Martin Ménard/Archives TCN

Les PPAQ veulent recouvrer des millions en créance

Des fraudeurs et des mauvais payeurs accumulent des millions de dollars en dette aux Producteurs et productrices acéricoles du Québec.




Dans un champ performant, cette moissonneuse-batteuse et sa table 16 rangs peuvent récolter à un rythme de 100 tonnes à l’heure. Photos: Martin Ménard/TCN

Un chantier de récolte à 5 M$

L’agriculture se modernise, avec des équipements de récolte qui atteignent une efficacité jamais vue. À Compton, en Estrie, Alex Lachance est aux commandes d’une moissonneuse-batteuse géante de marque Fendt de 660 chevaux.

Mathieu Delorme, Amélie Klaassen, Jasmine Delorme, Francis Delorme et Simon Delorme représentent la cinquième génération d’une famille d’agriculteurs. Photos : Marie-France Létourneau

Le projet de fromagerie d’une fratrie

Chez les Delorme, l’esprit d’initiative n’attend pas le nombre des années. Représentant la cinquième génération d’une famille d’agriculteurs, une fratrie s’est établie à Granby, où elle dirige la Ferme Julio et voit grand pour son entreprise.

Photo : Shutterstock

Oui à l’espoir, mais jusqu’où va-t-on?

Vous est-il déjà arrivé d’entretenir de l’espoir, beaucoup d’espoir? Sans aucun doute! Je serais bien surprise que quelqu’un me réponde par la négative, car l’espoir fait partie intégrante de l’expérience humaine.