La sélection génétique pour obtenir des fourrages plus riches en glucides non fibreux, qui sont la principale source d’énergie des microbes du rumen, est une avenue intéressante pour parvenir à pallier le rejet d’azote dans l’environnement. Photo : Gracieuseté de Mireille Thériault
Chronique CQPF

Une luzerne plus riche en énergie 

Annie Claessens, Mireille Thériault, Annick Bertrand, Solen Rocher Julie Lajeunesse Bill Biligetu

Très prisée dans l’alimentation du bétail, en raison de sa teneur élevée en protéines, la luzerne est toutefois riche en protéines très dégradables dans le rumen, ce qui entraîne une…