Les TET, surtout guatémaltèques, obtiennent un permis de travail fermé, qui les lie à un employeur donné, en vertu du Programme des travailleurs étrangers temporaires. S’ils veulent aller travailler dans une autre ferme, ils doivent obtenir un nouveau permis, ce qui peut prendre plusieurs mois. Photo : Shutterstock
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L’enjeu des permis de travail fermés ravivé par un expert de l’ONU

Caroline Morneau

Une déclaration percutante d’un représentant de l’Organisation des Nations unies (ONU), selon qui les programmes des travailleurs étrangers temporaires (TET) canadiens sont propices « aux formes contemporaines d’esclavage » ramène à l’avant-plan…