Antibiosurveillance : des données collectées dès 2024
Dès janvier 2024, les meuneries devront déclarer leurs ventes d’aliments médicamenteux.
La Pocatière marche pour le programme de médecine vétérinaire
Quelque 1 000 personnes, suivies par un convoi de 21 tracteurs de ferme, ont marché dans les rues de La Pocatière, le dimanche 11 septembre, afin de réclamer du prochain gouvernement…
Appui financier pour former plus de vétérinaires
Le gouvernement provincial vient d’accorder une enveloppe de 63 M$ pour soutenir trois projets de la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal visant à bonifier la formation et…
25 médecins vétérinaires seront formés annuellement à Rimouski
RIMOUSKI – Il n’y aura plus seulement Saint-Hyacinthe qui pourra se targuer de former des médecins vétérinaires.
Métier : vétérinaire dans la filière veau lourd
Vêtu d’une combinaison protectrice, de gants et de couvre-bottes, le Dr Frédéric Beaulac arpente les allées de l’étable, tel un inspecteur à l’affût du moindre signe de maladie ou d’inconfort.
Québec donne son aval à la formation vétérinaire à Rimouski
En octroyant des fonds pour la construction et le réaménagement des infrastructures de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) dans le Plan québécois des infrastructures 2022-2032, Québec a donné son aval…
Abattoir de Saint-Luc-de-Vincennes : l’absence d’un vétérinaire inquiète
La construction de l’abattoir de volailles de Saint-Luc-de-Vincennes, en Mauricie, est pratiquement terminée. Le manque de vétérinaires pourrait toutefois retarder le début de ses activités.
Initiatives pour pallier la pénurie de vétérinaires
La pénurie de vétérinaires spécialisés en grands animaux a des répercussions dans les fermes d’élevage depuis plusieurs années.
Métier : vétérinaire de bovins
Au volant de sa camionnette, le Dr Antoine Bourgeois sillonne le territoire de l’Estrie pour prodiguer des soins aux bovins malades, veiller à la reproduction et conseiller les éleveurs.
Omicron met les vétérinaires sur la corde raide
La cinquième vague de COVID-19, due au variant Omicron, fragilise une fois de plus l’offre de services vétérinaires.