Un village sans hommes
ZARAGOZA – Dans la communauté de Zaragoza, une majorité d’hommes laisse derrière femmes, enfants et champs plusieurs mois par an pour venir travailler au Québec.
La quête d’une mère
L’été 2024 est le 17e que Josefina Mucia passe au Québec à cueillir des fraises pour la compagnie Fraisebec, l’une des seules entreprises agricoles à employer majoritairement des femmes. Chaque année, elle refait ses valises, dit au revoir à sa famille pour quatre à six mois… et prie très fort pour que ses parents, âgés, soient là à son retour.
La Terre au Guatemala
Depuis 17 ans, Josefina Mucia s’exile environ six mois par année pour travailler dans les champs du Québec. Elle est l’une des quelque 12 000 Guatémaltèques que l’agence de recrutement ComuGuate soutient dans ses démarches annuelles d’immigration temporaire vers le Canada.
Un partenariat entre FERME et ComuGuate
Ce reportage a été réalisé grâce à une bourse du Fonds québécois en journalisme international.
Travailleurs étrangers : le rapport final des Nations unies publié
Le document final du rapporteur spécial des Nations unies qui s’est rendu au Canada l’année dernière souligne qu’un déséquilibre des pouvoirs empêche les travailleurs étrangers temporaires d’exercer leurs droits. Il indique que le programme canadien les encadrant est un « terreau fertile » pour l’esclavage contemporain.
Un regard photographique sur les TET
La municipalité de Saint-Paul-d’Abbotsford accueille, durant toute la saison estivale, l’exposition photo Saisonniers, qui souligne l’apport des travailleurs étrangers temporaires (TET) pour le Québec et son agriculture.
La baisse du seuil de TET inquiète les transformateurs
Depuis le 1er mai, le gouvernement fédéral a abaissé de 30 à 20 % le pourcentage de la main-d’œuvre pouvant provenir du volet « bas salaires » du Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET)…
Le sénat recommande l’élimination du permis de travail fermé
Le système encadrant l’accueil des travailleurs étrangers temporaires au Canada est défaillant, tranche un comité sénatorial dans un rapport.
Autistes et travailleurs agricoles
Depuis deux ans, l’Institut national d’agriculture biologique (INAB) accueille dans ses champs, ses serres et ses étables des travailleurs pas tout à fait comme les autres.
Un agriculteur des Hautes-Laurentides enchanté
La Ferme Larente avait besoin d’un employé fiable et travaillant. Elle semble avoir trouvé le bon candidat dans la banque des demandeurs d’asile d’Agrijob.