Communiqués de presse 28 septembre 2022

L’Avatar SD se décline dans de nouvelles largeurs

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

CHÂTEAUVILLAIN – Pour s’adapter davantage aux conditions rencontrées sur le terrain, HORSCH étend les usages de son Avatar par de nouvelles largeurs de travail et capacités de trémie.

« Déjà présenté en 2021 lors des journées presse, le semoir Avatar 12.25 SD se déclinera, à partir de 2023, en largeurs de travail plus petites » annonce Florent Hugon responsable produits semis chez HORSCH France.

L’Avatar 8.25 SD, l’Avatar 9.25 SD et l’Avatar 10.25 SD offriront les mêmes possibilités de travail que l’Avatar 12.25 SD, mais avec des largeurs inférieures, respectivement de 8, 9 et 10 mètres. Ces versions répondent aux exigences des clients dont la taille de l’exploitation, la puissance de traction disponible ou le débit de chantier recherchés sont moindres.

Les variantes de trémies proposées seront élargies. Outre la trémie double cuve de 6 300 litres disposant d’une répartition 60 : 40, il sera possible d’installer une triple cuve de 6 400 litres dotée d’une répartition 60 : 10 : 30.

En ajoutant un MiniDrill G&F, également proposé en option, jusqu’à quatre éléments (engrais, microgranulés…) pourront être incorporés en un seul passage sur le soc semeur SingleDisc. « Cette combinaison augmente encore la polyvalence du semoir » conclut Florent Hugon.

De plus, des chasses résidus sont prévus en option devant les éléments semeurs SingleDisc. Ils éliminent les résidus de culture, les pierres et les mottes du futur rang de semis. Leur réglage est adapté en continu aux conditions du terrain grâce à un vérin hydraulique. Cet équipement réduit considérablement l’effet de « hairpinning » en cas de résidus de culture abondants. Ce phénomène se traduit par l’enfoncement des résidus de récolte et de la matière organique dans le fond du sillon par le soc à disques. Si cela se produit, le contact entre le sol et les graines est insuffisant pour permettre la réhumectation de leurs téguments par l’eau remontant par capillarité. Ce risque est nettement minimisé avec l’utilisation des chasses résidus.