Six projets de loi agricoles qui tombent
Gestion de l’offre : Le projet de loi C-282 visait à empêcher de nouvelles concessions dans les marchés sous gestion de l’offre lors de la négociation de futurs accords commerciaux, en…
Une transition difficile chez les éleveurs de veaux d’embouche
Alors qu’en juillet, les producteurs de veaux d’embouche n’ont reçu aucun versement anticipé du programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles en raison des forts prix sur le marché, le versement de 20 M$ octroyé en décembre n’a servi qu’à payer leur contribution annuelle au programme.
La démission de Trudeau fait mourir le projet de loi sur la gestion de l’offre
Dans la foulée de la démission du premier ministre Justin Trudeau, le 6 janvier, le Parlement a été prorogé jusqu’au 24 mars, faisant ainsi mourir au feuilleton tous les projets de loi…
Une ferme démarrée comme projet de retraite
Depuis deux ans, Normand Richard, 66 ans, et Nadia-Christine Pouliot, 50 ans, se consacrent presque exclusivement à leur projet de retraite : le démarrage d’une ferme maraîchère à Laval, en banlieue de Montréal.
Une retraite au « paradis sur terre »
Lorsqu’il prendra officiellement sa retraite du secteur minier, Sylvain Vachon partagera son temps entre son Abitibi natale et rien de moins que « le paradis sur terre ».
Tim junior, le verrat de compagnie
Après que sa mère ait ignoré le porcelet rustique Tim junior à la naissance, son éleveur Nicolas Gaudette, de la Ferme Selby, à Dunham, en Estrie, l’a pris sous son aile.
Mommy la meilleure « tantine »
Mommy est la laie préférée de Linda Forest et, pourtant, sa pire productrice. En fait, elle ne produit plus du tout, mais l’éleveuse de sangliers de Saint-Honoré-de-Shenley, dans Chaudière-Appalaches, la garde en raison d’un attachement particulier développé après avoir soigné une fracture à sa patte. Mommy est sa meilleure « tantine », comme elle l’appelle affectueusement.
Quand la famille élargie orchestre sa vie autour de la ferme
Pour la famille Beaupré, la ferme est un mode de vie. Au moment de la traite, frères, oncles et parfois cousins viennent aider les copropriétaires, Réjean et André-Philippe Beaupré, à récolter le fruit de leurs efforts, 365 jours par année.
1 000 heures par année et près de 38 000 $ en travail invisible
Karine Leduc n’a pas caché sa surprise lorsque le nouvel outil de calcul lancé le 11 décembre par les Agricultrices du Québec a évalué que le travail invisible qu’elle effectue à la ferme équivaut à 1 000 heures par année et à un montant de 37 900 $.
Monsieur 5100, un taureau pas comme les autres
Monsieur 5100, un Limousin pur-sang, était un taureau spécial aux yeux d’Alexandre Landry, de la Ferme Rustique.