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Le dossier des terres de Rabaska, à Lévis, dans Chaudière-Appalaches, pourrait connaître un nouveau rebond. Radio-Canada a appris que le gouvernement du Québec prévoit déposer un décret ministériel pour contourner l’avis de la Commission de protection du territoire agricole du Québec.
Celle-ci devait se prononcer sur une demande déposée par le Groupe d’initiatives et de recherches appliquées au milieu (GIRAM) pour réinclure les terres de Rabaska à la zone agricole. Parallèlement, un regroupement composé entre autres du Syndicat de l’Union des producteurs agricoles de Lévis et du Collectif sauvetage pour le patrimoine agricole à Lévis et Beaumont, travaille à la création d’une fiducie pour préserver et protéger le potentiel agricole des 272 hectares que compte ce territoire. Rappelons qu’en février, Québec a acquis, pour 38 M$, les terres de Rabaska. Il était prévu que 40 % soit réintégrés à la zone agricole. La Ville de Lévis, le gouvernement du Québec et l’Administration portuaire de Québec désirent utiliser les 60 % restants à des fins industrielles.