Axter Agroscience : toujours à l’avant-garde dans le développement des biostimulants

À l’avant-garde depuis plus de 30 ans, Axter Agroscience entend conserver son leadership dans le domaine des biostimulants alors qu’une version améliorée de sa technologie 2.0, commercialisée en 2017, pourrait être progressivement introduite l’an prochain si les tests actuellement menés au champ continuent d’être aussi encourageants.

« Nous sommes toujours à raffiner nos connaissances sur les biostimulants et les molécules qui peuvent influencer la physiologie des plantes et ainsi avoir un impact sur le rendement, explique Germain Pelletier, directeur marketing de l’entreprise basée à Mont-Saint-Hilaire. Les résultats des essais scientifiques et des essais menés chez les producteurs nous permettront de confirmer les augmentations de rendement possibles et surtout de vérifier la rentabilité pour le producteur. Notre critère de décision est le rendement économique; le producteur doit obtenir un rendement de 3 pour 1. Si le producteur investit 5 $ de l’acre, il doit avoir au minimum un retour de 15 $. »

Les biostimulants créés avec la technologie 2.0 d’Axter Agroscience déclenchent dans la plante des mécanismes  de défense qui protègent les cultures contre des stress  extérieurs comme la chaleur, l’excès ou le manque d’eau,  le froid, le vent, les blessures mécaniques, les insectes,  les insecticides, les herbicides, etc.
Les biostimulants créés avec la technologie 2.0 d’Axter Agroscience déclenchent dans la plante des mécanismes de défense qui protègent les cultures contre des stress extérieurs comme la chaleur, l’excès ou le manque d’eau, le froid, le vent, les blessures mécaniques, les insectes,
les insecticides, les herbicides, etc.

Axter Agroscience a frappé un grand coup dans l’industrie des fabricants d’intrants il y a quatre ans avec le renouvellement de la gamme de produits de biostimulants CropBooster et SoyBooster. « Avec notre version originale, la probabilité d’une augmentation de rendement suffisante pour payer le produit était à 74 %. Notre technologie 2.0 fait passer cette probabilité à près de 100 % pour le blé, à 93 % pour le maïs et à 80 % pour le soya », souligne l’agronome.

Les biostimulants créés avec la technologie 2.0 d’Axter Agroscience déclenchent dans la plante des mécanismes de défense qui protègent les cultures contre des stress extérieurs comme la chaleur, l’excès ou le manque d’eau, le froid, le vent, les blessures mécaniques, les insectes, les insecticides, les herbicides, etc. Les biostimulants sont comme les vitamines que l’être humain peut consommer pour combattre des éléments extérieurs potentiellement négatifs.

L’équipe d’Axter Agroscience travaille en collaboration avec  des chercheurs dans le but d'améliorer constamment ses produits.  Sur la photo, des essais menés avec le CÉROM sur le soya, en 2018.
L’équipe d’Axter Agroscience travaille en collaboration avec des chercheurs dans le but d’améliorer constamment ses produits. Sur la photo, des essais menés avec le CÉROM sur le soya, en 2018.

Les augmentations de rendement associées à l’utilisation de CropBooster 2.0 dans les grande cultures ont été confirmées par des essais menés par les universités et centres de recherche indépendants depuis 2014. Le président de l’entreprise, Pierre Migner, s’est par la suite tourné vers les cultures maraîchères et fruitières pour voir quels bénéfices elles pourraient tirer de la technologie 2.0.

Avec des chercheurs du Collège Macdonald de l’Université McGill, Axter Agroscience a déterminé que la technologie 2.0 déclenchait la production de 71 protéines ou enzymes différents dans les cellules des plantes; ces protéines sont toutes liées aux systèmes de défense des plantes. Une découverte capitale.« Encore plus que le maïs ou le soya, les productions horticoles sont les cultures les plus exposées au stress pendant leur croissance. On s’est penché là-dessus et nos recherches nous ont permis de trouver une solution pour que les oligo-éléments [bore, calcium, cuivre, manganèse, magnésium, zinc, etc.] soient absorbés rapidement et efficacement par la plante », poursuit Germain Pelletier.

Germain Pelletier, accompagné de Jeff Braun et Melissa Hardy,  lors de la tournée des parcelles en 2019.
Germain Pelletier, accompagné de Jeff Braun et Melissa Hardy, lors de la tournée des parcelles en 2019.

Toute la gamme de produits OLIGO commercialisée par Axter Agroscience découle de cette avancée. « Le calcium, par exemple, est un élément peu mobile. Le OLIGO Ca 2.0 va permettre de l’introduire rapidement dans la plante et de le diriger à l’endroit où il est le plus sollicité, c’est-à-dire le fruit ou le légume », explique l’agronome. Quant à l’éventualité de l’introduction prochaine d’une version 3.0 de la technologie d’Axter Agroscience, Germain Pelletier se fait optimiste tout en demeurant prudent dans l’attente des résultats. « Le rendement maximum théorique pour le maïs, c’est environ 40 tonnes à l’hectare, mais les bons producteurs vont réussir à en tirer de 15 à 17 tonnes tout au plus. Tout le reste est perdu à cause des différents facteurs climatiques et autres éléments de stress. Si la version améliorée de nos produits permet de réduire l’impact de ces éléments, ça veut dire qu’il reste encore énormément de potentiel pour améliorer les rendements », conclut-il.

Qu’est-ce qu’un biostimulant?

Les biostimulants contiennent des substances ou des micro-organismes qui ont pour fonction de stimuler les processus naturels pour accroître l’absorption et l’efficience des nutriments, la tolérance aux stress abiotiques et la qualité des récoltes lorsqu’ils sont appliqués aux plantes ou à la rhizosphère (racines). (Source: European Biostimulants Industry Consortium)

 


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