Retrouvailles sous un ciel enneigé

Comme le veut la tradition, c’est au Manoir du lac William, à Saint-Ferdinand, dans le Centre-du-Québec, que se sont retrouvés tous les agriculteurs de la neuvième saison, en compagnie de l’animatrice Katherine Levac pour un épisode spécial de retrouvailles de L’amour est dans le pré.

On a pu constater que David et Alex sont toujours aussi amoureux l’un de l’autre, tout comme Denis et Ève, qui roulent encore sur le 550 volts. Les enfants d’Ève viennent même faire leur tour à la ferme de temps à autre et on a entendu leur mère parler du petit veau arrivé durant le temps des Fêtes. Visiblement, elle s’est bien acclimatée à sa nouvelle vie d’agricultrice.

Après avoir été « cancellé en direct à la télévision », selon ses propres mots, Marc-Antoine semblait s’être remis de ses émotions, tout comme Julien qui a confessé ne pas avoir eu de coup de foudre pour ni l’une ni l’autre de ses prétendantes, ce qui a rendu son aventure un peu plus difficile.

Martin, lui, est venu seul. Sa relation avec Émilie n’a pas fonctionné finalement et tous deux ont décidé d’y mettre un terme peu après leur retour du voyage à Montréal.

Et le gagnant du pool est…

Avec tous ces rebondissements, ça a brassé pas mal dans le pool! Je vous rappelle que tout se jouait entre Karen et moi pour la finale. Avec Anne qui a changé son fusil d’épaule et avec la séparation de Martin et Émilie, voilà que je perds deux points et que je termine avec un misérable score de 1 en 5. Karen, de son côté, termine aussi avec une seule bonne prédiction puisque Julien a mis un terme à sa relation avec Chloé et qu’elle avait aussi choisi Émilie et Martin.

Odette et Andréanne perdent aussi un point pour le choix d’Émilie et Martin.

Quant au Docteur Trouble-fête, il croupissait déjà dans les bas-fonds avec une seule bonne prédiction. Nous nous retrouvons donc avec une quintuple égalité à un point partout pour tous les poolers!

Sachez d’abord qu’outre L’amour est dans le pré, je suis aussi un fan fini de lutte professionnelle. Où est-ce que je m’en vais avec ça? Très simple. À la lutte, quand c’est nul, le champion conserve son titre. En suivant cette logique, comme nous avons une quintuple égalité, le champion conserve son titre, c’est-à-dire… moi. Eh oui! Je conserve mon titre de champion pour une cinquième année d’affilée. Je ne pouvais espérer mieux pour finir cette neuvième saison. On se dit donc au revoir et à l’année prochaine.