L’agriculture urbaine est apparue comme une mauvaise herbe, prenant racine dans les terrains vagues, les saillies de trottoirs et les campus aux monocultures de béton et de gazon, comme un peu de poésie entre deux nuages de smog. Elle a d’abord été l’action directe d’activistes écologistes, de groupes communautaires et de loups solitaires.