Vie rurale 5 septembre 2014

Un reportage qui fait réagir

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Tel que publié dans La Terre de chez nous

Plusieurs de nos lecteurs et internautes ont été touchés par notre reportage de la semaine dernière relatant le drame vécu par Gilles Gouger et son épouse, Denise, des producteurs agricoles de Mascouche menacés d’expropriation par le projet municipal d’expansion de l’aéroport local et la création d’une zone industrielle, « un pôle de développement technologique multifonctionnel », selon les mots du maire Guillaume Tremblay.

Vous pouvez d’ailleurs relire cet article sur notre site Internet et y visionner le témoignage du couple.

Voici certains commentaires récoltés sur la page Facebook de La Terre de chez nous.

Jasmin Deslauriers : Ayoye! Comme s’il y avait trop de fermiers…

Carole Cimon : On a déjà vu ça dans le passé… des terres fertiles… et l’aéroport est aujourd’hui fermé!

Sylvette Leroux : Avez-vous oublié : il y en a un à Mirabel!

Étienne Goyer : Théoriquement, la CPTAQ est là pour ça. On va voir si elle fait sa job.

René Cimon : La CPTAQ subit les décisions des plus hauts placés… Ce sont ceux qui nous gouvernent et reconduisent les petits contrats des amis du parti!

Isabelle Gendron : Exactement, la CPTAQ devrait faire quelque chose. Ils nous rendent la vie difficile lorsque l’on veut seulement morceler pour vendre à un autre agriculteur qui va exploiter la terre et la cultiver… là personne ne va la cultiver, la terre, au contraire.

Michel Gascon : Encore des magouilles à Mascouche. Un autre agriculteur se fait tasser, les municipalités ont tous les droits, font ce qu’elles veulent avec le zonage. Elles sortent le top sol ou défrichent sans problème, mais comme agriculteur, quand on passe devant la CPTAQ, on se fait varloper en masse. De toute façon, un aéroport, c’est fédéral. La CPTAQ peut rien faire, comme d’habitude.